Amelie

bonsoir Amélie

"Tu n entendra pas ma voix,tu ne verra pas mon visage,tu ne verra pas qui je suis,moi je sais qui tu est ce que tu fait ou tu habite je connais tous de toi,alors voilà ce qui va ce passer maintenant,je tais donner une copie de la clé si tu fait tout ce que je te dit demain tu aura l originale et personne ne sera et ton secret sera garder en cas de refus tout le monde sera qui tu est vraiment alors obéit moi!
Voila ce qui va ce passer maintenant,je vais te demander de faire des chose je vais t ordonner te commander t obliger je vais m'amuser avec toi t utiliser t humilier te dominer et toi tu obéira!et c est tout si tu a compris tu me dit oui monsieur

suite a ta soirée tu accepte un rendez vous avec Phantom

Quand vous arrivez Ă  l’hĂŽtel vous vous demandez encore pourquoi vous avez acceptĂ© cette invitation.
Vous ne le connaissez pas . Vos jambes tremblent
 Vous avez une boule Ă  l’estomac, mais tellement envie de connaĂźtre la sensation de livrer votre corps qu’il connaĂźt dĂ©jĂ  par des photos. Sensuelles au dĂ©but, vous avez eu envie de pousser dans la polissonnerie des poses et dans la nuditĂ© pour son plaisir renouvelĂ© et pour votre intime excitation. Vous vous ĂȘtes longuement prĂ©parĂ©e. Tous les dĂ©tails sont importants, jusqu’à vos ongles finement dĂ©corĂ©s. Votre corps est soigneusement mis en valeur par ces vĂȘtements prĂšs du corps qui laissent si bien deviner le galbe gracieux de votre corps.

Les rĂšgles sont simples : vous ne direz mot, vous obĂ©irez, votre vue sera occultĂ©e, vous apporterez votre jouet. Ce dernier point est aussi une idĂ©e de cet homme. Les surprises n’en seront que plus grandes et votre dĂ©sir vraisemblablement dĂ©cuplĂ© parce que vous ne croiserez pas un regard qui vous mettrez mal Ă  l’aise alors que vous serait totalement Ă  sa merci. Cette idĂ©e vous a plu, et votre sexe s’échauffe dĂ©licieusement alors que vous approchez de la chambre. D’une main tremblante vous attendez ce petit sac accrochĂ© Ă  la poignĂ©e de la porte et dans lequel vous trouvez un masque de sommeil noir. Plus efficace, mais moins Ă©rotique qu’un bandeau. Vous serez aveugle, les autres sens n’en seront que plus alertĂ©s.
Vous le placez et frappez doucement Ă  la porte. Des pas
 la porte s’ouvre sans bruit, mais vous sentez un lĂ©ger courant d’air et un parfum, son parfum. Il prend, avec douceur, votre main droite. Vous pĂ©nĂ©trez dans la chambre. La porte se referme et vous sentez qu’il passe derriĂšre vous. Ses deux mains vous prennent Ă  la taille. Ses doigts ne peuvent s’empĂȘcher d’imprimer une presque ’imperceptible caresse. Vous frissonnez. Une voix douce, chaleureuse :

-Bonjour Madame
 votre prĂ©sence me comble de plaisir
 et de dĂ©sir. Son souffle prĂšs de votre oreille
 chaud, calme et ses doigts qui ondulent lentement. Votre cƓur s’emballe et vous essayez de contrĂŽler votre respiration. Peine perdue, vous soupirez, bouche entr’ouverte.

Encore quelques pas. Une main vous libĂšre de votre sac. Deux mains font glisser votre manteau de cuir. Un moment d’inaction. Il vous regarde, vous observe, vous scrute. La question ne se pose mĂȘme pas. Sait-il que vos mamelons durcissent et que votre sexe se mouille devant cette situation empreinte d’anxiĂ©tĂ©, de plaisir. Douce angoisse qui serre votre gorge et vous fait dĂ©glutir sous l’emprise d’une bouche assĂ©chĂ©e. La large ceinture dĂ©tachĂ©e, lentement. Les doigts
 agiles. Le pull lĂ©ger est soulevĂ© depuis la taille. Vous levez les bras pour aider Ă  la libĂ©ration. Moment d’inaction encore. Vous entendez votre souffle et percevez le battement de votre cƓur. La jupe qui glisse. Les mains s’affairent au niveau de vos pieds. Elles prennent vos chevilles pour ĂŽter vos talons hauts et la jupe. Vous sentez le souffle de l’homme contre vos cuisses, prĂšs de votre pubis. Vous frĂ©missez. Deux mains sur votre cuisse droite. Elles font lentement glisser votre bas. Les doigts ondulent mĂȘlant un fin massage Ă  la glissade du voile. Vous levez le pied et vous soumettez Ă  la mĂȘme opĂ©ration pour la jambe gauche.
Les mains montent et descendent le long de vos jambes, de vos cuisses. Lentement. Vous percevez enfin un baiser sur le haut d’une cuisse. Furtif, voleur, timide ? Si prĂšs de votre sexe. Les mains passent sur votre ventre et vos reins. Chaudes, pointillistes, impressionnistes dans les contacts qui se font le plus souvent avec les bouts des doigts. L’accĂšs Ă  la nuditĂ© s’approche. Les doigts veulent dĂ©grafer le soutien-gorge. Il faut dire que vous avez aussi choisi avec soin vos dessous. L’homme est derriĂšre vous quand il abaisse les bonnets et libĂšre vos seins finement galbĂ© et tendu sous l’attente. Il se place face Ă  vous. Il admire votre poitrine parfaite. Que veut-il ? Il faut qu’il fasse quelque chose.
Un doigt sous un mamelon. Si proche et si Ă©loignĂ© Ă  la fois. MĂȘme ballet sur les deux seins. Les doigts flattent, glissent, s’approchent et fuient vos mamelons presque douloureux, mais tellement Ă©panouis. Votre souffle implore plus. Les doigts serrĂ©s vous attendez plus. Enfin, vous ne pouvez contenir un petit gĂ©missement quand la langue se pose sur un mamelon. Elle tournoie, taquine, obĂ©issant Ă  votre respiration. L’autre sein n’est pas abandonnĂ©. Deux doigts le pincent, doucement il est vrai. C’est sĂ»r, vous aimeriez bien une deuxiĂšme bouche. L’unique prĂ©sente s’enhardie, voici que les lĂšvres Ă©crasent votre mamelons. Trop doux. Les dents interviennent en compagnie de la pointe de la langue. Vous laissez fuir un « oooh ! » surpris quand la main libre de l’homme se pose sur votre sexe encore couvert. Votre bassin se dĂ©place malgrĂ© vous pour mieux accueillir cette inquisitrice qui se brĂ»le au contact de votre intimitĂ©. Les doigts ne bougent pas et vous vous astreignez Ă  ne pas trop vous offrir. Il veut juste vĂ©rifier l’effet de ses caresses.
Votre bassin est naturellement la prochaine victime de ce « tortionnaire attentif ». Vous ne le voyez pas, mais vous sentez qu’il s’agenouille. Il aimerait peut-ĂȘtre pĂ©trir vos fesses, les serrer, les mordre
 Les mains passent sur les cĂŽtĂ©s et glissent sur vos hanches. Puis, les deux majeurs passent sous les cĂŽtĂ©s de votre tanga. Elles les Ă©cartent. Lentement, trĂšs lentement. Trop lentement ? Les minces et magnifiques triangles de tissu glissent le long de votre bassin. Vous vous sentez nue, quand vous savez que votre sexe et dĂ©sormais offert Ă  son regard. Fut-ce un rĂ©flexe ? Vos deux mains tremblantes se joignent pour cacher votre intimitĂ©.
-Voulez-vous, Madame, me laisser voir votre sexe ? Je pressens
, non, je sais qu’il est humide
 ouvert
 Vous dĂ©sirez que je le vois, vous en avez l’envie, n’est-ce pas ?
Une voix douce, assurée, rassurante et impérieuse, parce que vous le désirez.

Vos offrez votre sexe à la vue de l’homme. Vous le sentez, il regarde et il s’attarde.
-Vous ĂȘtes nue, totalement nue. Vous ĂȘtes offerte Ă  mes caresses et vous les aimez. Jusqu’à prĂ©sent, il ne s’agissait que de simples contacts, d’effleurements, d’attouchements, de caresses dĂ©licieuses. Je vous offre la possibilitĂ© de vous laisser soumettre Ă  mes jeux vicieux. Voulez-vous ĂȘtre mon objet ? Voulez-vous jouir de cette situation ? Si vous ne le voulez pas, retirez votre masque. Si vous en voulez encore plus
 placez une main sur votre sexe et caressez-le.
Votre main gauche se pose sur votre sexe trempé et un doigt glisse entre vos grandes lÚvres déjà gonflées. Avez-vous réfléchi à la situation ? Le sang frappe vos tempes et votre ventre brûle. Vos jambes, que vous écartez encore, tremblent-elles ?
-Je regarde
 Madame, votre doigt caresser votre clitoris. J’aime ce spectacle. Je pense aussi que votre sexe se mouille parce qu’il participe Ă  votre besoin de vous exhiber Ă  mon regard. La lumiĂšre est forte, vous le sentez peut-ĂȘtre, elle me permet de voir la cyprine humecter votre intimitĂ©. Je pense que dans quelques minutes, c’est l’intĂ©rieur de vos cuisses qui en sera couvert. Mon but avouĂ©, je peux vous avouer certaines choses
 pas toutes
 couvrir votre corps en puisant Ă  votre source nacrĂ©e.
Combien de temps vous laisse-t-il masser doucement votre clitoris. Est-ce une volontĂ© perverse, mais il vous arrĂȘte alors que vous ĂȘtes au bord de l’orgasme. DĂ©licatement, aprĂšs ĂȘtre passĂ© derriĂšre vous, il prend vos poignets et les rĂ©unis dans votre dos. Docilement, vous le laissez les lier par un cordon, peut-ĂȘtre en soie. Puis il vous prend par la taille, vous fait dĂ©placer jusqu’à ce que vous sentiez le bord du lit.
-Agenouillez-vous sur le lit, Madame.
Vous prenez soin de vous placer sur ce qui vous semble ĂȘtre le centre de vos Ă©bats Ă  venir. Vous frissonnez, vous aimez. Ses mains sont chaudes. Ils semblent qu’elles vous brĂ»lent.
-Écartez les genoux.
Vous obĂ©issez et vous servez de votre souplesse pour approcher un grand Ă©cart facial. L’homme bouge. Il attend quelque chose. Vous sentez un cordon ĂȘtre enroulĂ© autour de votre cheville droite. Il est long, puisqu’il se lie Ă  l’autre cheville. Un autre cordon se lie avec vos poignet est et accrochĂ© Ă  celui qui maintien vos chevilles.
-Vous ĂȘtes toute offerte, excitĂ©e, ouverte et ruisselante la chatte dilater a l extrĂȘme comme une catin prĂȘte a ĂȘtre saillis par un Ă©talon
Il se place derriĂšre vous. Sa main gauche sur votre ventre. Vous sentez son torse contre vos omoplates. Sa respiration contre votre oreille droite. Et cette main qui se pose sur votre sexe.
-J’aime ce bourgeon
 gonflĂ©. Laissez-moi le caresser.
Un majeur flatte votre clitoris, roule dans un sens, part dans l’autre. Lent d’abord, il accĂ©lĂšre.
-Votre corps vibre, Madame. Il se tend. Vous soufflez, votre respiration affolĂ©e m’inspire les pires pensĂ©es. Oh !
 Vous jouissez
 Abandonnez-vous
 Geignez
 Flattez mon orgueil de mĂąle faisant jouir la femme-chienne que vous ĂȘtes.
Les caresses s’attĂ©nuent. La main masse votre sexe. Humide, elle glisse sur votre ventre, vos seins tendus. Elle replonge, s’abreuve sans pĂ©nĂ©trer et se place sur votre bouche. Les doigts s’immiscent, vous les accueillez.
-LĂ©chez
 Buvez

Goûte-t-il lui aussi ? Deux doigts rigides au goût de votre sexe vous invitent à simuler une fellation. Vous vous appliquez à les sucer.
L’homme s’éloigne. Vous entendez qu’il ouvre votre sac. Il prend votre jouet. Vous en ĂȘtes assurĂ©e quand vous le sentez sur vos lĂšvres.
-LĂ©chez la hampe
 Taquinez le gland

Il laisse beaucoup de temps entre chaque ordre.
-Avalez-le.
Sa main se pose sur votre tĂȘte et vous invite Ă  vous pencher sur le membre fictif. Le jeu s’arrĂȘte. L’homme vous couche en arriĂšre. Il vous dĂ©place afin que vous ayez la tĂȘte hors du lit. Une pression sur le front vous invite Ă  pencher votre tĂȘte en arriĂšre. Votre jouet revient s’introduire. Timide d’abord, il s’enhardit et s’enfonce de plus en plus profondĂ©ment dans votre gorge.
-Offrez-moi cette gorge profonde. DĂ©gustez cette verge.
Une main caresse votre gorge, elle s’attarde ensuite sur vos seins, descend sur votre ventre. Elle fait une pause sur le mont de vĂ©nus. Puis deux doigts entrent enfin dans votre sexe pour y commencer un lent va-et-vient. Un bouche lĂšche et mordille un de vos mamelons. Vous soufflez, vous ne pouvez laisser Ă©chapper que quelques sons Ă©touffĂ©s. Les doigts accĂ©lĂšrent crĂ©ant des bruits « humides ». Votre corps vous Ă©chappent, vous vous tortillez, vous vibrez, vous tremblez.
-Voudriez-vous jouir de mes caresses, ? Je le pense et j’en ai besoin. Donnez-moi ce plaisir
 S’il vous plaüt.
L’homme retire le jouet afin de pouvoir Ă©couter la dĂ©clamation de votre plaisir. Il ralentit le rythme trĂšs lentement avant de retirer ses doigts, qu’il passe sur votre gorge, vos joues.

L’homme vous dĂ©place Ă  nouveau. Il dĂ©tache vos chevilles et vous fait placer sur le dos. Il rapproche vos jambes de vos fesses et attache vos poignets Ă  vos chevilles
-Ma langue et votre jouet, pour un duo.
Le jouet s’enfonce lentement.
-Madame, je vois votre sexe s’ouvrir et accueillir la verge. Il aime, il s’offre. Vous sentez-vous dominĂ©e ? Vous entez-vous chienne ? Vous sentez-vous salope ?
Le silence s’impose quand la langue se met Ă  rouler sur votre clitoris. Les mouvements des deux caresses adoptent le mĂȘme rythme appliquĂ©, consciencieux. Des dĂ©charges fusent vers votre ventre, vos reins, vos mamelons, votre gorge.
L’homme fait une pause. Il libĂšre vos poignets. Vous vous placez instinctivement en « chien de fusil », recroquevillĂ©e, les jambes serrĂ©es. Vous sentez, vous transpirez, vous haletez pendant que les mains de l’homme massent votre dos, vos reins, votre nuque.
-Vous ĂȘtes belle.
Toujours cette voix, douce mais directive. VoilĂ  qu’il vous allonge Ă  nouveau sur le dos et lie vos poignets sur le devant. Votre corps obĂ©it quand il vous fait rouler sur le ventre et plier les genoux. Le visage dans les draps, vos mains entre vos jambes, vous savez que vous offrez au regard votre cul et votre sexe largement ouvert luisant de cyprine. Vous Ă©cartez vos genoux
 Avec plaisir ? Avez dĂ©lectation ?
-Quel spectacle

Avait-il prĂ©parĂ© cet Ă©pisode ? Bien sĂ»r. Des liens fixĂ©s de part et d’autre du sommier viennent enserrĂ©s vos chevilles, vous forçant Ă  Ă©carter vos jambes. Pas trop, la douleur n’est pas invitĂ©e. Ils vous empĂȘchent simplement de resserrer vos genoux.
Une langue surprend votre anus. Douce et flatteuse, elle devient inquisitrice, fouilleuse, exploratrice. Un vĂ©ritable petit phallus animĂ© de vie que vous apprĂ©ciez avec dĂ©lice alors que deux mains massent avec gourmandise vos fesses, vos cuisses. Puis
 un doigt, mouillĂ© d’abord Ă  votre sexe. Un deuxiĂšme.
-Ouvrez votre cul, chĂšre amie. Votre jouet vous a-t-il dĂ©jĂ  enculĂ©e ? Ne rĂ©pondez pas, c’est votre secret. Le voilĂ  qui arrive.
Humide, il s’enfonce trĂšs lentement,votre cul se dilate comme une putain de bordel il gicle de mouille il prend son temps. Rien de bien ne peut se faire dans la prĂ©cipitation. Il va loin et commence le va-et-vient. Deux doigts entre dans votre vagin et explore votre sexe.
-J’ai l’impression qu’un autre homme possĂšde votre cul pendant que je vous pĂ©nĂštre comme un voleur. J’adore
 Je prends beaucoup de plaisir Ă  vous tourmenter.
Les doigts jouent avec le jouer. L’homme vous fait dĂ©placer vos bras pour se placer sous votre sexe et ajoute sa langue Ă  la valse. Trois sources de plaisir qui vous font jouir encore et encore


RassasiĂ© de votre plaisir, l’homme vous laisse enfin en paix. Il vous dĂ©tache.
-Allongez-vous.
Il se place entre vos jambes alors que vous ĂȘtes dans un Ă©tat second et que vous essayez de reprendre votre respiration. Il bouge, vous entendez qu’il semble se dĂ©shabiller. Il dĂ©gage son sexe prĂȘt Ă  exploser. Il ne lui faut que quelques mouvements avant que vous sentiez le contact chaud de sa semence sur votre ventre et votre poitrine. Son souffle paraĂźt si calme et il est tellement silencieux que vous en ĂȘtes surprise. Pendant quelques secondes, vous devinez qu’il observe son sperme maculant votre douce peau, Il se lĂšve.

-Je pars, vous n’aurez qu’à dĂ©poser les clĂ©s quand vous vous en irez.
Un baiser sur vos lĂšvres closes et il vous laisse seule.
Diterbitkan oleh phantom196445
3 tahun lalu
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